auteur en A

à vous de mettre les auteurs choisis!!

J'ai loué un livre de Olivier ADAM : Je vais bien, ne t'en fais pas.

Pris au hasard à la biblio dans les A.
On verra bien ce que ça donne !

titepomme a écrit:

J'ai loué un livre de Olivier ADAM : Je vais bien, ne t'en fais pas.

Pris au hasard à la biblio dans les A.
On verra bien ce que ça donne !

Perso j'ai bien aimé, il sort de l'ordinaire par sa découpe et il se lit très vite

Je me lance,
Bon je finis le Chattam commencé et j'attaque avec:

Jirô Asada: Le roman de la cité interdite.

Pour la petite histoire, Asada est un auteur japonais.
Asada signe ici, dans la grande tradition du XIXe siècle européen, le premier volet d'un roman fleuve, où le vérité historique devient le ferment du romanesque.

Moi j'attaque avec Abu Hashhash. C'est un auteur israëlien qui écrit sur son pays. Je vous en dirais des nouvelles

J'ai pris Vassilis ALEXAKIS "Je t'oublierai tous les jours".
Un grec écrivant en français. A reçu le prix Médicis pour un de ses livres.
Je ne connais pas du tout. Je vous en reparlerai en mars.

livre1

Résumé du livre

Un homme qui ressemble à l'auteur s'adresse à une personne qu'il connaît bien, une femme qui lui manque et à laquelle il a besoin de se raconter. Il lui plaît de délivrer à cette destinataire des nouvelles du monde aussi bien que des nouvelles plus intimes le concernant. Page après page, on devine qu'il converse avec sa mère disparue.
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et bien pour moi, il faudra attendre la semaine prochaine que j'aille à la bibli car je ne peux décemment pas prendre le Auster, je connais trop bien l'auteur

tu as jusqu'au 1er mars soph de toute façon prend ton temps

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J'ai terminé mon livre de Olivier Adam. J'ai bien aimé, même si je n'arrivais pas à avoir beaucoup de sympathie pour l'héroïne. Elle n'avait rien d'attachant à mes yeux. Trop paumée, trop "victime" à mon goût. Du coup, en lisant le livre, ça ne me plaisait qu'à moitié... jusqu'à presque la fin. J'ai été scotchée ! Une belle leçon d'amour ! Et j'ai révisé mon jugement sur ce livre.
Une bonne découverte !

Coucou !!

Alors, moi, j'ai choisi : Mitch Albom "LEs 5 personnes que j'ai rencontrées là-haut"...



Et voilà, c'est parti !!


Bisous

Un bon choix Natou !

titepomme a écrit:

Un bon choix Natou !

Merci, Titepomme..... je crois que je vais aimer... hihi

Natou a écrit:

Coucou !!

Alors, moi, j'ai choisi : Mitch Albom "LEs 5 personnes que j'ai rencontrées là-haut"...



Et voilà, c'est parti !!


Bisous

j'ai choisi le même!

célinem a écrit:

Natou a écrit:

Coucou !!

Alors, moi, j'ai choisi : Mitch Albom "LEs 5 personnes que j'ai rencontrées là-haut"...



Et voilà, c'est parti !!


Bisous

j'ai choisi le même!

Coucou !!

Ah oui ?? cool !!

bisou

Natou

j'ai pris Laure Adler "à ce soir"

Alors moi j'ai choisi (au hasard dans la biblio de maman) :

" Au bonheur du matin" de Marie-Paul Armand

Présentation de l'éditeur
Rosalinde a six ans lorsqu’éclate la Première Guerre mondiale. Elle vit à Orchies, dans le pays de Pévèle, région de pâturages verdoyante et rurale. Comme tous les Orchésiens, elle doit fuir la ville, incendiée par les Allemands. Elle se réfugie dans un petit village, chez son grand-père qui l’élève sévèrement et sans tendresse. Dès sa sortie de l’école primaire, elle apprend à coudre et devient rapiéceuse. Ainsi nommait-on les femmes qui à l’époque cousaient des vêtements à partir de pièces de tissu, sur des machines qu’elles actionnaient au pied. Elle accepte la demande en mariage d’un ami d’enfance, qui travaille à la fabrique de chicorée Leroux. Elle l’aime tendrement mais le véritable amour arrivera de façon imprévue, bouleversant son existence sage et routinière. --Ce texte fait référence à l'édition Broché .

Biographie de l'auteur
Marie-Paul Armand habite une petite ville du Nord. Auteur incontournable de ce département, sa renommée s'étend aussi à la France entière. Après des études universitaires à la faculté de Lille, elle fut enseignante en mathématiques à l'école publique pendant dix ans avant de s'engager dans la voie de l'écriture. Son premier roman, La poussière des corons (prix Claude-Farrère), écrit à la mémoire de son grand-père, mineur, paraît en 1985. De livre en livre, son succès se confirme (avec, entre autres, Le vent de la haine, 1987 ; Le pain rouge, 1989 ; Nouvelles du Nord, 1998 ; L'enfance perdue, 1999 et Un bouquet de dentelle, 2001). Son dernier roman, Le cri du héron, est paru en 2004 aux Presses de la Cité.

Je l'ai terminé, il est très touchant, l'écriture est fluide et simple. J'ai passé un bon moment

... et je passe au B

Coucou Nath !!

Tu vas bien ??

Quoi?? Déjà termoné alors que je n'ai pas encore commencé le mien...

Je te bisoute !!

Natou

moi non plus j'ai pas commencé!! je termine mon en-cours et je commence!!

gwenahelle a écrit:

moi non plus j'ai pas commencé!! je termine mon en-cours et je commence!!

Je vais te suivre de près... aussi, mon en-cour n'avance pas... il ne me reste plus que 5 pages mais au bout de 10 lignes... Zzzzzzz......
Ce soir, je le termine !!

Bisous

natou c'est pareil pour moi j'ai un peu de mal

alors moi, j'ai lu mon livre A
Laure Adler
à ce soir

En résumé
Un récit qui parle avec des mots simples et une immense lucidité, du deuil impossible : " Le temps ne fait rien à l'affaire et ce n'est pas plus mal, au fond. "


Avec un mélange de générosité et de parcimonie, Laure Adler décrit une étoile et sa lente extinction : l'éveil au monde du petit Rémi, interrompu par sa mort contre nature.

Dans un style haletant, sans artifices, une mère décrit l'indescriptible. Aujourd'hui, elle continue de compter Rémi parmi ses enfants. Parce qu'on ne s'en remet jamais complètement. Espérons que ce livre l'aura autant aidée qu'il nous bouleverse.

Mot de l'éditeur
Au cours de l'été 2000, Laure Adler a échappé de justesse à un très grave accident de voiture.

Un événement qui n'aurait pas dû laisser d'autres traces qu'une bonne frayeur rétrospective, si l'auteur ne s'était rendue compte qu'il s'était produit, jour pour jour et heure pour heure, à la date anniversaire de la mort de son fils, alors âgé de un an, dix-sept ans auparavant.

A partir de là, le récit s'est imposé de lui-même à celle qui cesse ici d'être journaliste pour faire entendre la voix d'un mère retraçant le portrait d'un tout petit garçon très courageux.

Un récit qui parle aussi, avec des mots simples et une immense lucidité, du deuil impossible : " Le temps ne fait rien à l'affaire et ce n'est pas plus mal, au fond. "

La revue de presse de Radio France
Chez Laure Adler, pas de récit. Des fragments. Des détails. Des moments. Des sentiments. Son fils Rémi est mort depuis longtemps lorsqu'elle commence un texte, pour elle-même, sans savoir si elle osera le rendre public, s'il sera autre chose qu' "une tentative de raccommodement avec le monde" destinée à demeurer secrète ... Bien que Laure Adler ait écrit "A ce soir" parce que tout s'est terminé ce jour-là, parce que Rémi n'a pas survécu, son livre n'est pas le récit d'une mort. C'est le souvenir d'une lutte pour la vie, du courage d'un tout petit garçon qu'on imagine sans conscience de la mort, d'une détermination qui étonne le personnel médical et donne aux parents l'idée qu'il va "s'en sortir". Le regarder, être avec lui, c'est repousser les limites, se laisser aller à "cette impression magique, cette croyance absolue qu'être à côté de l'enfant le protège de la mort". Laure Adler ne construit pas une histoire autour des derniers mois de Rémi. Elle n'en fait pas un objet de littérature, ne se dit pas écrivain, ce qui déplaira ou au contraire bouleversera selon le rapport de chacun à la perte et au discours qu'on peut, ou non, tenir sur le deuil.



livre difficile ou plutôt sujet difficile, le genre de sujet que je préfère éviter, mais c'est un très beau livre, dur mais beau

Je viens de finir alors je vous laisse mon avis


L'auteur : Mahmoud Abou Hashhash
Né en Palestine en 1971, Mahmoud Abou Hashhash a suivi des études de littérature à Londres et à l’université de Birzeit (Palestine). Depuis 2005, il dirige le programme « Culture et arts » à la fondation Qattan, installée à Ramallah. Poète, il a publié plusieurs recueils en arabe. Ramallah, mon amour est son premier texte traduit en langue française.

Histoire : « L’imprévu absolu se substitue à l’ordinaire. Le chemin ne conduit plus à aucune maison. Désormais, la maison ne confère plus aucune sécurité, ni chaleur ou repos. La ville, tyrannisée par l’imprévu, a transformé chaque foyer en prison. La vie est devenue fille du hasard. Je suis vivant parce que j’ai de la chance, c’est tout. Aucune autre raison ne l’explique, ni la volonté de vivre, ni même les lois de la sélection naturelle. »

Il est palestinien. Elle est française. Nous sommes à Ramallah, en 2002. Ramallah, mon amour : une longue lettre adressée à une femme, à moins que ce ne soit à la ville assiégée. Mahmoud Abou Hashhash y conjugue, entre présence et absence, mémoire et oubli, l’amour et l’écriture, qu’il construit et déconstruit sans cesse, comme cette ville dévastée à laquelle il est attaché malgré lui. Une nouvelle voix à l’heure où s’ouvre un pan inédit de l’histoire palestinienne.

Avis : C'est un texte sur l'amour, sur la guerre. C'est assez étonnant parce que il parle d'une guerre assez particulière : celle du siège de Ramallah et pourtant on pourrait presque mettre n'importe qu'elle ville à la place. L'ateur raconte le changement, les souvenirs. Il y a plusieurs histoire enfet : ses souvenirs avec une amante française, le siège actuel avec les routes fermées et les fouilles des soldats et ses réflexions à lui sur les évévènements quelqu'ils soient.

C'est très bien écrit. Très fluide et poétique. On saute d'un sujet à un autre, d'un point de vue à un autre avec le même ton comme si l'amour et la guerre étaient les mêmes choses. Ce n'est pas très long et c'est très agréable.

J'ai choisi Jacques-Pierre Amette : La Maîtresse de Brecht"



En résumé
Prix Goncourt 2003.

L'avis de la Fnac
Brecht était incontestablement un très grand dramaturge, il n'en avait pas moins certains côtés antipathiques particulièrement dans son rapport avec les femmes. . . Mais le roman de Jacques-Pierre Amette ne se veut pas un élément à charge supplémentaire dans un dossier récemment instruit par diverses études historiques. Il s'agit plutôt de la reconstitution d'une époque à travers une extraordinaire galerie de portraits. En octobre 1948, Bertolt Brecht rentre à Berlin après un exil de quinze ans aux États-Unis. Les autorités doutant de son intégrité marxiste décident de placer dans son entourage une actrice autrichienne, Maria Eich, pour espionner ses faits et gestes et rendre compte de ses opinions les plus cachées. Maria Eich accepte la mission sans enthousiasme mais elle n'a pas vraiment le choix. Son père était en nazi notoire, son mari aussi qui s'est réfugié au Portugal où il serait facile à retrouver, sa fille vit à Berlin Ouest. Elle devient actrice dans la troupe de Brecht et, occasionnellement, sa maîtresse, mais si elle ne parvient jamais à l'aimer sincèrement, elle ne peut se défendre d'une véritable admiration à son égard.

Le destin de cette espionne au grand cœur acculée à des actes dont elle a honte a quelque chose de poignant. Tout comme les superbes évocations d'Hélène Weigel, la femme de Brecht, du dramaturge lui-même empêtré dans ses propres contradictions de la Prusse et du Berlin d'après-guerre au cœur de la guerre froide.

Mot de l'éditeur
La maîtresse de Brecht, c'est Maria Eich, jeune actrice viennoise que les services de la Stasi vont engager au retour de Brecht pour l'espionner. Brecht arrive à Berlin-Est en 1948 avec sa femme Hélène Weigel pour diriger le Berliner Ensemble et engage Maria Eich pour jouer Antigone. Fatigué, vieillissant, il lui faut des maîtresses jeunes, pleines de vie et relativement soumises. Ce à quoi s'emploie Maria tout en se livrant à son double travail de comédienne et d'espionne, photographiant tout document produit par Brecht, pièces de théâtre, poèmes, correspondance, qu'elle livre à l'officier de la Stasi qui l'a recrutée, Hans Trow. Durant plus de quatre ans, elle sera la maîtresse officielle de Brecht, sous les yeux complaisants de sa femme, éprouvant pour le grand homme un mélange d'indifférence, de mépris et d'admiration, réservant à Hans un sentiment amoureux qu'elle ne nommera jamais, bien qu'il soit partagé. Puis Maria passe à Berlin-Ouest où elle raconte sa double vie à la CIA avant de se rendre dans le Bade Wurtemberg pour y être professeur d'allemand.

Un roman sur les dernière années de Brecht, qui sait qu'il va mourir et ne nourrit que peu d'illusions sur l'humanité en général et le régime qui l'a accueilli en particulier. Il est condamné à incarner le héros des temps modernes, le dramaturge du parti communiste allemand, l'homme à femmes, sorte de Minotaure à qui l'on fournit son contingent de vierges.


Bon ben je fini Narnia et j'attaque.... dans quelques jours

Coucou !
J'ai envie de lire "Un été chez Voltaire" de cet auteur.... c'est son dernier

Bizzzzzzzzzzzzzzzz

En voilà de bonnes idées lecture

titepomme a écrit:

J'ai loué un livre de Olivier ADAM : Je vais bien, ne t'en fais pas.

Pris au hasard à la biblio dans les A.
On verra bien ce que ça donne !

j'ai lu " sous la pluie" de cet auteur j'ai bien aimé! tu nous diras comment est celuici?!

Titepomme, je l'avais lu il y a plusieurs mois... je l'avais trouvé assez moyen

Bisous

nathaliem9 a écrit:

Titepomme, je l'avais lu il y a plusieurs mois... je l'avais trouvé assez moyen

Bisous

J'ai beaucoup aimé... la fin. Une belle leçon d'amour.
Mais je dois dire que le reste du livre était chiant... un peu.

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Elena Arseneva : les enquêtes du boyard Artem, l'espion du prince Oleg

Dans son fief de Tchernigov, en ce triste mois de novembre 1173, le prince Vladimir est en danger. Son palais abrite un espion à la solde d'Oleg, son cousin rival. Boris, son meilleur valet, est assassiné en pleine fête alors qu'il revenait d'une mission capitale. Vladimir confie l'enquête, plus que délicate, au boyard Artem. Aidé de ses deux fidèles compagnons et de l'espiègle Philippos, Artem doit percer les secrets de ces familiers du palais qu'il côtoie, lui aussi, tous les jours. Le traître fait taire un à un tous ceux qui pourraient parler. Qui finira par triompher et à quel prix ?

L'Espion du prince Oleg est le cinquième volet d'une série des aventures du boyard Artem qui ne compte que de bons titres ! Une fois encore, l'intrigue est très bien menée, pleine de surprises, écrite avec beaucoup d'habileté et une grande fraîcheur. Malgré l'éloignement dans le temps et dans l'espace, on se sent très proches des personnages de ce Moyen Âge russe. Un roman passionnant, excellent anti-dote à la grisaille ! --Sophie Colpaert

source amazon

voila le livre que j'ai choisi pour le A

Alors, j'ai choisi un livre de Paul Auster, auteur que je n'ai encore jamais lu.

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La Nuit de l’oracle
de Paul Auster
Résumé du livre
Le 18 septembre 1982, l'écrivain new-yorkais Sidney Orr achète un carnet bleu dans une papeterie de Brooklyn, papeterie qui fermera boutique le lendemain. Durant les neuf jours qui vont suivre cet achat, la vie de Orr va connaître une tournure plus que troublante et inquiétante. A mi-chemin entre une réflexion sur le temps et un voyage à travers l'imagination de l'être humain, Paul Auster nous entraîne dans le quotidien perturbé d'un New-Yorkais presque ordinaire.
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Je vous donnerai mon avis après lecture.