Livres de Jens Christian Grondahl

cet auteur est né à Copenhague en 1959 il est aujourd'hui auteur vedette de son pays...
quelqu'un connait ??

Jens Christian Grondahl est né à Copenhague en 1959. Auteur phare, il a publié des livres qui sont aujourd'hui traduits dans de nombreux pays. "Silence en octobre" (Gallimard, 1999), "Bruit du cœur" (Gallimard, 2002) et "Virginia" (Gallimard, 2004) l'ont fait connaître au public français.
L'avis de la Fnac
À cinquante-six ans, Irene Beckman voit son univers s'effondrer. "L'idée que tout puisse rester identique est peu à peu devenue aussi irréelle que l'idée d'un changement. Ce qui lui était inimaginable s'est réalisé, mais elle ne parvient pas à se le représenter. Peut-être est-ce la banalité de la chose qui entrave son imagination. Le côté trivial de la situation est presque plus dégradant que ses aspects corporels et sentimentaux, voire moraux."
rene vient de découvrir qu'il y a quelqu'un dans la vie de Martin, son mari, quelqu'un qui répond au prénom de Suzanne. Elle a passé la moitié de sa vie avec lui et se rend compte qu'elle a perdu le lien avec la moitié où il n'était pas là. Comment doit-elle réagir ? Martin l'a-t-il dépouillée de sa liberté au fil des années ? A-t-elle limité la sienne ? L'existence d'Irene se complique davantage. Alors qu'elle est sur le point de se faire poser une prothèse de la hanche dont l'anesthésie générale comporte des risques, sa mère lui confie une enveloppe en lui demandant expressément de ne l'ouvrir qu'après sa mort. Troublée par l'effondrement de sa vie de couple, Irene l'ouvre sans respecter la demande maternelle et découvre, dans un cahier écrit en 1948, le prénom d'un homme qui serait son vrai père…
Peintre du quotidien, Jens Christian Grondahl dresse le tableau réaliste d'une existence anodine, sans histoire, presque rongée par l'ennui, dont les repères se trouvent brutalement remis en question. Un roman d'une remarquable acuité psychologique.
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Une avocate quinquagénaire se fait larguer par son mari et découvre dans la foulée que son vrai père n’est pas forcément celui qu’elle croit. Infatigable explorateur de l’intime, le romancier danois Jens Christian Grondhal s’offre près de 400 pages pour évoquer son malaise. Style plat, psychologie lourde et sentences niaises (« On ne connaît pas l’autre. On croit le connaître, mais en fait non. ») : un portrait de femme laborieux qui s’enlise un peu plus dans la banalité à chaque chapitre.
Epok, l'Hebdo de la Fnac.

je ne connais pas sophie

je l'ai terminé hier soir, écriture spéciale, presque tout narratif, tout le long, un sentiment de nostalgie,c'est pas mal...mais spécial...
je suis toujours curieuse de lire des auteurs étrangers, pour voir s'il y a des différences dans leur manière d'écrire, de vivre, de concevoir la vie...
ici, aucune différence avec la France...