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 Livres de Lao She

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Irish Co
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MessageSujet: Livres de Lao She   Livres de Lao She EmptyJeu 31 Mar 2005 - 17:41

LE POUSSE-POUSSE :
Le Pousse-pousse, relate les aventures de Siang-tse le Chameau dans le Pékin des années vingt et trente. Sa grande ambition est de posséder son propre pousse-pousse. Dans cette ville où tout est régi par la guerre, l’argent, le danger, il ira de désillusion en désillusion et ne connaîtra que la déchéance et le désenchantement. Mais c’est aussi le roman du petit peuple de Pékin, un Pékin aujourd’hui disparu, que Lao She fait vivre, avec humour, sous nos yeux : celui de Siang-tse, de Tigresse et de Petite Fou- tse, celui des petits métiers, celui des colporteurs, avec leur langue savoureuse, leurs misères et leurs fêtes.

QUATRE GENERATIONS SOUS LE MEME TOIT :
Tome 1
Quatre générations sous un même toit est d'abord une histoire de famille. Le roman s'ouvre sur l'anniversaire du vieux Qi, le patriarche, dans l'une des cours du Petit-Bercail à Pékin. Il est fier que sa longévité lui permette de connaître jusqu'à ses arrière-petits-enfants. Sa seule crainte est que la célébration de son anniversaire soit compromise par le début de la guerre avec les Japonais. Par ses nombreux personnages, le roman trouve son unité dans la succession des différentes générations et dans la dimension historique qui vient menacer leur stabilité. Mais les "conflits", qui sont au coeur de l'oeuvre, n'opposent pas seulement entre eux les divers membres de la famille, ils opposent aussi le groupe familial à la patrie, et Pékin au reste de la Chine. Ainsi Pékin devient-il le sujet principal du roman. Ecrit entre 1942 et 1944, Quatre générations sous un même toit est un roman-fleuve d'un réalisme tout à fait original pour l'époque et une fresque incroyablement vivante, où Lao She dévoile les événements avec colère et passion.

Tome 2
Dans le premier tome de ce roman-fleuve, l'auteur nous faisait déjà pénétrer dans l'univers chaleureux de la famille Qi, au coeur du quartier du Petit-Bercail, réseau complexe de ruelles et de petites cours à Pékin. Nous les retrouvons tous ici, mais, malgré le printemps naissant, tout a changé et l'atmosphère familiale est triste : l'arrière-grand-père ne plante plus ses arbres, le grand-père oublie de rapporter des gâteaux et le père ne supporte plus que ses enfants fredonnent des chansons. Plus rien n'est comme avant depuis que la population de Pékin vit sous le joug des Japonais, et la nourriture vient à manquer. Les femmes se mettent même à demander le divorce. La cohabitation entre Chinois et Japonais se déroule dans un climat lourd et oppressant : les Japonais arborent de fiers visages de conquérants ; les Chinois, eux, vivent d'espoir et résistent en silence, à l'image de Ruixuan, le professeur d'anglais et de chinois. Ce dernier assiste à l'invasion ennemie, mais aussi au déclin d'une époque, comprenant ainsi que l'effondrement de cette Chine archaïque est sans doute nécessaire à la construction d'un monde nouveau. Nombreux, cependant, sont ceux qui choisissent de collaborer avec l'occupant et de profiter de leurs nouvelles alliances pour s'enrichir sans vergogne, comme l'odieuse famille voisine des Qi, les Guan, dont la mère, la "Grosse courge rouge", indépendante et opportuniste, dirige une maison close. Lao She jette ici un regard plein d'amour et de nostalgie sur une famille déchirée mais solidaire, sur un peuple déraciné mais plein d'espoir, sur l'être humain dans ce qu'il a de plus généreux et d'inquiétant.

Tome 3
Dans ce troisième et dernier volet de Quatre générations sous un même toit, les habitants du Petit-Bercail sont pris dans la tourmente de la Seconde Guerre mondiale. Le conflit s'étend, les nouvelles des combats en Europe plongent certains dans le désespoir, redonnent à d'autres du courage. Les Pékinois sont confrontés à la terrible réalité du rationnement. La famine qui sévit dans tout le pays s'abat sur la capitale ; elle n'épargne pas les plus innocents, tandis qu'elle amène les traîtres au pays à montrer toute la noirceur de leur âme. Des personnages jusque-là hésitants franchissent le pas, s'engagent, comme Gaodi, la fille aînée du traître Guan Xiaohe, ou bien encore Ruixuan, le plus âgé des petits-fils du vieux Qi, qui entrent dans la résistance contre l'occupant. Le rythme du roman s'accélère au fur et à mesure que les morts se succèdent. La famille Qi compte trois disparus, qui appartiennent chacun à une génération différente. L'édifice bâti par le vieux Qi tremble sur ses bases : résistera-t-il à la tourmente ? Au terme de l'histoire les méchants sont certes punis, mais des innocents aussi ont payé de leur vie pour cette folie meurtrière. Telle est la règle aveugle de ce jeu. Lao She souffre de voir son peuple ainsi bafoué, mais il garde un regard lucide et sa réflexion sur l'occupant se fait plus nuancée. Son profond humanisme, fait d'intelligence, d'humour et de tolérance, son style, précis et poétique, continuent de captiver le lecteur qui retrouve avec bonheur des personnages devenus proches et familiers.

LA CAGE ENTREBAILLEE :
Dans les années 30, un mot nouveau fait fureur à Pékin : tout le monde parle de divorce. Victimes du système traditionnel des mariages arrangés, tous aimeraient bien profiter de la nouvelle législation pour voler de leurs propres ailes. Lao Li, qui a fait venir sa famille de la campagne, et ses collègues de bureau voient leurs épouses se liguer contre eux. Seul Zhang, l'entremetteur, se croit à l'abri de la contagion ; en réalité, d'autres dangers le guettent.
Mêlant scènes domestiques et satire de la bureaucratie chinoise, cette comédie de moeurs aux personnages d'une délicieuse humanité est dominée par l'humour et le sourire.
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Irish Co
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MessageSujet: Quatre générations sous le même toit - Lao She   Livres de Lao She EmptyJeu 31 Mar 2005 - 17:46

QUATRE GENERATIONS SOUR LE MÊME TOIT :
Tome 1
Quatre générations sous un même toit est d'abord une histoire de famille. Le roman s'ouvre sur l'anniversaire du vieux Qi, le patriarche, dans l'une des cours du Petit-Bercail à Pékin. Il est fier que sa longévité lui permette de connaître jusqu'à ses arrière-petits-enfants. Sa seule crainte est que la célébration de son anniversaire soit compromise par le début de la guerre avec les Japonais. Par ses nombreux personnages, le roman trouve son unité dans la succession des différentes générations et dans la dimension historique qui vient menacer leur stabilité. Mais les "conflits", qui sont au coeur de l'oeuvre, n'opposent pas seulement entre eux les divers membres de la famille, ils opposent aussi le groupe familial à la patrie, et Pékin au reste de la Chine. Ainsi Pékin devient-il le sujet principal du roman. Ecrit entre 1942 et 1944, Quatre générations sous un même toit est un roman-fleuve d'un réalisme tout à fait original pour l'époque et une fresque incroyablement vivante, où Lao She dévoile les événements avec colère et passion.

Tome 2
Dans le premier tome de ce roman-fleuve, l'auteur nous faisait déjà pénétrer dans l'univers chaleureux de la famille Qi, au coeur du quartier du Petit-Bercail, réseau complexe de ruelles et de petites cours à Pékin. Nous les retrouvons tous ici, mais, malgré le printemps naissant, tout a changé et l'atmosphère familiale est triste : l'arrière-grand-père ne plante plus ses arbres, le grand-père oublie de rapporter des gâteaux et le père ne supporte plus que ses enfants fredonnent des chansons. Plus rien n'est comme avant depuis que la population de Pékin vit sous le joug des Japonais, et la nourriture vient à manquer. Les femmes se mettent même à demander le divorce. La cohabitation entre Chinois et Japonais se déroule dans un climat lourd et oppressant : les Japonais arborent de fiers visages de conquérants ; les Chinois, eux, vivent d'espoir et résistent en silence, à l'image de Ruixuan, le professeur d'anglais et de chinois. Ce dernier assiste à l'invasion ennemie, mais aussi au déclin d'une époque, comprenant ainsi que l'effondrement de cette Chine archaïque est sans doute nécessaire à la construction d'un monde nouveau. Nombreux, cependant, sont ceux qui choisissent de collaborer avec l'occupant et de profiter de leurs nouvelles alliances pour s'enrichir sans vergogne, comme l'odieuse famille voisine des Qi, les Guan, dont la mère, la "Grosse courge rouge", indépendante et opportuniste, dirige une maison close. Lao She jette ici un regard plein d'amour et de nostalgie sur une famille déchirée mais solidaire, sur un peuple déraciné mais plein d'espoir, sur l'être humain dans ce qu'il a de plus généreux et d'inquiétant.

Tome 3
Dans ce troisième et dernier volet de Quatre générations sous un même toit, les habitants du Petit-Bercail sont pris dans la tourmente de la Seconde Guerre mondiale. Le conflit s'étend, les nouvelles des combats en Europe plongent certains dans le désespoir, redonnent à d'autres du courage. Les Pékinois sont confrontés à la terrible réalité du rationnement. La famine qui sévit dans tout le pays s'abat sur la capitale ; elle n'épargne pas les plus innocents, tandis qu'elle amène les traîtres au pays à montrer toute la noirceur de leur âme. Des personnages jusque-là hésitants franchissent le pas, s'engagent, comme Gaodi, la fille aînée du traître Guan Xiaohe, ou bien encore Ruixuan, le plus âgé des petits-fils du vieux Qi, qui entrent dans la résistance contre l'occupant. Le rythme du roman s'accélère au fur et à mesure que les morts se succèdent. La famille Qi compte trois disparus, qui appartiennent chacun à une génération différente. L'édifice bâti par le vieux Qi tremble sur ses bases : résistera-t-il à la tourmente ? Au terme de l'histoire les méchants sont certes punis, mais des innocents aussi ont payé de leur vie pour cette folie meurtrière. Telle est la règle aveugle de ce jeu. Lao She souffre de voir son peuple ainsi bafoué, mais il garde un regard lucide et sa réflexion sur l'occupant se fait plus nuancée. Son profond humanisme, fait d'intelligence, d'humour et de tolérance, son style, précis et poétique, continuent de captiver le lecteur qui retrouve avec bonheur des personnages devenus proches et familiers.

Gallimard
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MessageSujet: Re: Livres de Lao She   Livres de Lao She EmptyJeu 31 Mar 2005 - 17:56

/merci/ Caroline, je note...as-tu aimé ce livre??
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Irish Co
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MessageSujet: Re: Livres de Lao She   Livres de Lao She EmptyJeu 31 Mar 2005 - 18:15

C'est peu dire ! Je suis passionnée de roman asiatique. J'ai commencé par Pearl Buck quand j'étais ado, depuis dès que la consonnance du titre sonne un peu chinois, j'achète impulsivement.
Celui là je l'ai lu quand mon mari était en hypokhâgne, ça l'aidait un peu pour ses résumés...
J'ai adoré !
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Sophie
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MessageSujet: Re: Livres de Lao She   Livres de Lao She EmptyJeu 31 Mar 2005 - 21:45

J'ai le premier tome que je n'ai pas encore lu mais j'ai été conquise par un recueil de nouvelles du même auteur: Gens de Pékin; d'ailleurs je vous mets un post.
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MessageSujet: Re: Livres de Lao She   Livres de Lao She Empty

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