Auteur : Herbert james
Editeur : Pocket
nb pages : 471 p
résumé :
Les rats attendaient leur heure.
Ils n'eurent pas à attendre très longtemps. L'apocalypse nucléaire. Londres rasée, anéantie. Ses habitants carbonisés, irradiés, ensevelis sous les décombres. Mais, pour une poignée d'entre eux, réfugiés dans les abris ou les couloirs du métro, la survie est peut-être encore possible. Ils ne se doutent pas que le pire est à venir. Car, sous la surface de la ville, les rats les épient. Les rats qui ont compris que l'Homme, affaibli, sans défense, est désormais leur proie.
mon avis :
Dernier tome d'une trilogie, j'avais vraiment hâte de lire ce troisième volet. Comme pour les deux précédents, l'histoire se poursuit, mais raconte une nouvelle fois une période différente qui n'a aucun rapport avec les livres précédents.
Ici nous nous retrouvons dans un Londres qui a subi une attaque nucléaire tout comme le monde entier, et nous suivons la survie d'un groupe d'hommes et de femmes pendant le roman.
Hélas, je n'ai pas vraiment apprécié le roman autant que les premiers. A travers le résumé on nous promet une dualité entre "les rats" et les survivants ; malheureusement je dirais qu'ici les rats ne sont qu'une toile de fond, un second rôle....
Ici il s'agit plus d'hommes et de femmes qui cherchent à survivre dans un monde apocalyptique. Ce qui en soit est intéressant mais ce n'est pas ce que j'attendais de ce roman d'horreur. On assiste à la surie des bombes nucléaires, à la recherche d'abris, à l'organisation au sein du groupe avec bien sûr des hiérarchies qui se forment, une révolte, des agressions.... tout ce qui représente l'humanité mais aussi la mentalité de L'homme qui n'est pas forcément bonne dans les conditions dramatiques.
James Herbert continue malgré tout de parsemer des moments d'angoisse et de terreur dans son roman ce qui m'a permis de tenir jusqu'à la fin.....