auteur en J

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BLANCHE OU LA TRIPLE CONTRAINTE DE L'ENFER de Hervé Jubert :
1870. Paris mène un rude combat contre l'armée prussienne, les habitants fuient vers la campagne, à l'instar de la famille Paichain qui compte se réfugier dans la Sarthe en poussant du coude dans une gare bondée. C'est ainsi que Blanche, 17 ans, est séparée des siens et se retrouve dans la capitale, avec le seul soutien de son oncle Gaston Loiseau, commissaire, et de sa meilleure amie Emilienne, fille de la concierge. Un peu soudainement, Blanche va prendre part à une série de meurtres étranges, où les cadavres disparaissent, tous marqués d'un étrange tatouage au bras. Les morts se suivent, un innocent est accusé et Blanche intervient dans les affaires de son oncle pour lui démontrer qu'il est sur une fausse piste. Presque sur des chemins semblables, la jeune fille et l'homme poussent leurs enquêtes, aux trousses d'un suspect polymorphe, se mêlant au parfum piquant de la sorcellerie et de la magie noire.

**Le premier tome d'une trilogie qui me paraissait prometteuse d'après le résumé... Au final, un livre long, pesant, lourd. Je n'ai pas aimé. Mais il est encensé sur bien des sites, alors ça ne devait pas être le bon livre au bon moment pour moi.

ben voilà, c'est bien fait ! ça t'apprendra à aller aussi vite !

:c: :c: :c: :c: :c:

mais tu en est au JJJJJJJJJ!!!!???? ;bravo;

soph a écrit:

ben voilà, c'est bien fait ! ça t'apprendra à aller aussi vite !

lennie a écrit:

mais tu en est au JJJJJJJJJ!!!!???? ;bravo;

Non, j'ai attaqué le K hier...
A ma décharge, faut aussi dire que ma pile de livres à lire était ENORME. Du coup, j'ai fait un tri et sélectionné des auteurs que je ne connaissais pas et qui peuvent entrer dans l'ordre alphabétique. C'est les copines qui m'ont prêté les livres qui vont être contentes de les voir revenir en retour !

en j, j'ai choisi un classique
Henry James
le tour d'écrou
Existe-t-il plus grand plaisir que d'écouter des récits macabres, la veille de Noël, dans une vieille maison isolée ? Qu'il est diabolique le frisson qui glace alors les sangs... Qu'il est divin le cri des femmes épouvantées... Ce ne sont pourtant que des histoires... Tandis que celle-ci... Elle a été vécue... Par des enfants encore, deux petits orphelins, si admirablement gracieux, si serviables et si doux... Et leur gouvernante, une jeune fille des plus honnêtes. Ce qu'ils ont vu, ce qu'ils ont enduré et les circonstances extraordinaires des événements qui les ont... Mais non ! c'est trop horrible... Ça dépasse tout... en pure terreur ! Car le pire, c'est de savoir que, justement, on ne saura jamais tout..

Ca a l'air très alléchant ton livre, Soph !

ah oui, vous savez c'est un classique....c'est pas pour rien
ben si vous voulez savoir la suite, vous savez ce qui vous reste à faire.... livre1

je n'ai pas encore commencé mon livre en I mais j'avais déjà sur mes étagères mon livre en J:

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l'oiseau de Oh Jung-Hi

Le conte cruel d'une enfance à la dérive. Un court mais grand roman, une prose sobre et juste pour dire le quotidien d'une petite fille, ses rêves, ses souvenirs, l'oiseau qui chantait dans la cour sordide, et puis comment la vie un jour bascule dans l'horreur. Âpre et bouleversant, un chef-d'œuvre de la littérature coréenne.

Résumé

La mère est morte. Le père, parti loin sur les chantiers, a abandonné les deux enfants dans une banlieue misérable de Séoul. La gamine s'occupe du ménage, de la cuisine et de son petit frère. À sa manière. Comme son père si violent avec la mère qu'il a fini par la tuer...

un livre qui doit être assez dur mais entre deux livres plus légers ça devrait aller (sauf que mon auteur en I n'a pas l'air du tout léger
:c: )

c'est pas grave s'il y a un post d'ouvert dessus ce qu'il faut c'est que toi tu le découvres

pour ma part j'ai adoré cette trilogie!! le 1er est un peut-être un peu long à entrer dans l'histoire mais le troisième est génial!!

ce serait vraiment dommage qu'ils n'aient que le 1er tome, ça m'énerve quand les bibliothèques font ça!!

J'ai fini Le quadrille des assassins de Hervé Jubert et j'ai beaucoup aimé . Ils n'ont pas les 2 suivants à la bibli mais je compte bien les lire un jour.

j'ai donc fini mon auteur en J

j'ai été agréablement surprise par ce livre je pensais que ça allait être larmoyant mais pas du tout!! c'est triste mais raconté simplement et avec beaucoup de poésie par moments, par contre je n'ai pas aimé la fin même si elle correspond tout à fait au style du livre

Alors pour mon J...

Je me suis choisi: Christian JACQ: La Reine Soleil, tome 1
chez, poche jeunesse

Dans la cité du soleil, le règne d'Akhénaton s'achève. Les temps sont difficiles et les complots se multiplient, menaçant l'équilibre de l'Egypte tout entière. C'est compter sans Akhésa. Vive, ravissante, mais aussi indépendante et courageuse, elle aime par dessus tout son pays d'Egypte, et se promet de le sauver de la barbarie. Lorsque le prince Toutankhaton, pressenti pour succéder à Pharaon, tombe éperdument amoureux d'elle, la voie vers le trône se trouve libre, brusquement! Grâce à sa volonté et son intelligence hors du commun, Akhésa sera la Reine Soleil.

... Jolie histoire pour les petits loups qui aiment l'Egypte. Par contre un grand reste sur sa faim... j'aurai peut-être dû choisir la version adulte!

Depuis fort longtemps j'avais envie de découvrir un homme.
Alexandre Jollien ( [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] )!
Un homme différent mais qui a découvert la philosophie.
il a écrit "Eloge de la faiblesse" une discussion entre lui et socrate...
A découvrir....
j'ai de la peine à passez à la lettre suivante tant celle là m'a touchée...

monique Jouvency " l'air de riens"
des ptites nouvelles trés belles , une jolie ecriture très poétique!
bon livre!

Soph et Lennie, je n'ai pas trouvé à la médiathèque les livres que vous avez lu en J, et qui me tentaient pourtant, j'ai donc pris :

Le Roman des Jardin
d'Alexandre Jardin

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Résumé du livre
'Dois-je avouer que, soudain,j'en ai eu assez de me cacher publiquement en écrivant des romans de bon garçon ? Que mes petites épopées sur l'extase conjugale m'ont paru, la quarantaine venue, bien pâlichonnes au regard des folies de ma famille ? Bon sang, me suis-je dit : jusqu'à quand auras-tu peur d'être un Jardin ? Il faut admettre que le sang des Jardin est un breuvage à hauts risques. Une gorgée, et bas les masques ! Cap sur les sentiments incorrects ; sur des fièvres bizarres, loufoques, grisantes ; sur ces hurluberlus qui font ma tribu et qui embellirent leur vie de magnifiques audaces... Le résultat est là : dans ce roman vrai, je perce mes abcès de silence. Je vagabonde enfin au sein de ce clan qui, à lui seul, incarne la fantaisie, l'irrégularité en tout et un moment d'incroyable liberté. Pour la première fois, je redeviens un Jardin. Suis-je digne de ces grands fouleurs de principes ? Je leur dois, en tout cas, la meilleure part de ce que je suis.'

La critique [evene]
par Dorothy Glaiman
C'est l'histoire de sa famille, l'histoire de sa vie que nous propose Alexandre Jardin pour la rentrée littéraire 2005 : "Ce livre raconte sans fard mon itinéraire parmi ces géants de la liberté, mes paniques de gosse confronté à une absence quasi totale de bornes. Cependant que l'on se rassure, mon 'Roman des Jardin' ne tiendra pas du strip tease familial - la littérature boueuse n'est pas mon style [...]". En quelques mots, le ton est donné. En effet, l'auteur a pris le parti de dépeindre sous forme anecdotique les frasques des différents protagonistes qui ont marqué sa vie. Et Dieu sait qu'elles sont nombreuses et des plus farfelues ! Du Nain Jaune à l'Arquebuse en passant par Zouzou, Merlin, le Zubial ou encore Louse, tous ces double-rate ont eu une influence sur sa vie passée, présente et futur. C'est grâce et à cause d'eux, qu'Alexandre Jardin est ce qu'il est : "Avec la famille Jardin, j'ai un compte d'admiration à solder, mais aussi un compte de colère à régler".
C'est donc dans un style léger et drôle, sans amertume ni regret que l'auteur nous livre une part de son intimité. On est vite entraîné dans son univers : on essaie de l'imaginer, de le concevoir, on en sourit mais sans jamais le plaindre. Car ce n'est pas du tout le message que veut faire passer Alexandre Jardin. On lit ce roman d'une traite sans jamais se lasser, ce qui est un véritable exercice de style lorsqu'il s'agit d'une autobiographie. Le message final de ce roman ne date pas d'hier mais reste universel : on choisit ses amis, pas sa famille...

Source : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]


Petite question les filles : a-t-on le droit de citer la critique comme je le fais ici, du moment que l'on donne la source, ou pas ?

Oui Kiki, tu peux le faire !!

J'avais bien aimé ce livre !! Une famille complètement déjantée et hors normes. Bonne lecture !

Euh, eh bien en fait au début, j'ai trouvé ça bien, et puis je me suis assez vite ennuyée, famille déjantée, certes, mais à force de lire anecdotes sur anecdotes aussi bizarroïdes les unes que les autres sur cette famille, je ne sais pas, ça m'a barbée.

Trop de successions d'anecdotes donc, j'ai eu l'impression de lire toujours la même chose, une fois qu'on a compris que c'est effectivement une bien drôle de famille, on a vite fait le tour.

Bref, je n'ai pas trop aimé, pas eu envie d'aller jusqu'au bout, je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnes/personnages.

Zut alors !

Oui comme tu dis !
J'ai pourtant insisté, mais non, je n'accrochais pas.

Mais je me suis rattrapée avec Harry Potter !