La terre des loups (Jeanne-Marie Sauvage-Avit)

Quatrième de couverture :
Suite à son licenciement, Jessy part s'installer en Savoie, dans un village qui a servi de refuge au peintre Steffen Witzberg pendant la Seconde Guerre mondiale. Ce petit coin de paradis est pourtant menacé par un projet de construction qui en ferait une station touristique. Seule solution : un projet de financement solidaire pour déplacer le lieu des travaux...
Elle-même artiste, Jessy se voit contrainte de prendre les pinceaux et d'imiter le style de Witzberg afin de vendre un tableau pour une somme conséquente et de sauver son village. Cet acte, pourtant plein de bonnes intentions, aura des conséquences graves et inattendues pour la jeune femme.

Mon avis :
Je ne sais pas trop quoi penser de cette lecture. Tout au long de ma lecture, j’ai été partagée entre « j’aime » et « j’aime pas »…
L’histoire est plaisante. L’écriture également. Mais c’est le genre de livre dont on sait dès le début comment ça va se terminer.
Il y a des descriptions qui amènent des longueurs sur plusieurs sujets (la peinture, la montagne… je ne dis pas tout afin de ne pas spoiler) et en même temps, je trouve ce livre bâclé. Plusieurs sujets sont abordés, mais seulement survolés. Tout comme les personnages et leurs histoires. On dirait presque le début d’une saga…
C’est dommage car l’intrigue est sympa et ce qui arrive à l’héroïne, Jessy, vers la fin du livre m’a effrayée car ça montre que tout ce que l’on fait ou dit, sorti de son contexte, peut être terrible. Et ça m’a tenue en haleine pendant quelques pages.
Je ne peux pas dire que je n’ai pas aimé ce livre. Je suis allée jusqu’au bout sans me forcer. De là à le recommander…
Je rajouterai que j’ai choisi de lire ce livre à cause du titre et je trouve qu’il ne reflète pas l’histoire du livre. Ni la couverture, d’ailleurs.
De plus, je ne connaissais pas cette auteure et j’ai bien envie de tenter un autre de ses livres afin de me faire une opinion sur elle, pas seulement à travers ce livre.