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 l'affaire Caillaux.... l'avenir ne s'oublie pas

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Natou
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Natou


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MessageSujet: l'affaire Caillaux.... l'avenir ne s'oublie pas   l'affaire Caillaux.... l'avenir ne s'oublie pas EmptyJeu 9 Oct 2008 - 21:29

Purée!!

Avant de vous faire un speech sur ce bouquin que je suis lon de terminer car je viens tout juste de le commencer, je vais vous copier/coller des infos recueillies sur WIKIPEDIA très intéressantes....



Henriette Caillaux
Henriette Caillaux, née Henriette Raynouard ("Rainouard" sur sa pierre tombale) (1874-29 janvier 1943), épouse de Joseph Caillaux, est connue pour avoir assassiné le journaliste Gaston Calmette, directeur du quotidien Le Figaro.
Ayant entamé une relation amoureuse avec Joseph Caillaux alors qu'il était encore marié à Mme Dupré, née Berthe Gueydan, elle l'épouse après leur divorce. Tandis que Caillaux exerce la fonction de ministre des Finances dans le gouvernement Doumergue, il subit des attaques politiques dont Le Figaro, dirigé par Gaston Calmette, se fait un relais actif. Calmette reçoit puis publie dans son journal plusieurs courriers privés menaçant la crédibilité et la carrière de Caillaux.
Henriette Caillaux, décidée à défendre la réputation de son mari, prend rendez-vous avec Calmette le 16 mars 1914 à la direction du Figaro. Après quelques mots, elle tire plusieurs balles à bout portant sur Calmette, le tuant sur le coup.
Lors de son procès, Henriette Caillaux plaide coupable. Fait exceptionnel, le président de la République fait une déposition et nombre de membres de la haute société de l'époque doivent aussi s'exposer.
À une époque où le féminisme commençait tout juste à poser son empreinte sur la société française, la défense en la personne de Fernand Labori (1860-1917) exploita habilement les stéréotypes encore bien ancrés. Il convainquit le jury que le crime n'était pas le fait d'un acte mûrement préparé mais d'un réflexe féminin incontrôlé, transformant le crime prémédité en crime passionnel, et obtint ainsi l'acquittement le 28 juillet.

Joseph Caillaux
Joseph Marie Auguste Caillaux, né au Mans le 30 mars 1863 et mort à Mamers le 21 novembre 1944, est un homme politique français, de tendance socialiste dans ses premières années.

Fils d'Eugène Caillaux, parlementaire sarthois qui fut ministre de Mac Mahon en 1877, Joseph Caillaux, né en 1863, fait ses études secondaires au lycée Fontanes à Paris (actuel lycée Condorcet) puis à la faculté de Paris où il obtient une licence en droit. Il commence sa carrière comme inspecteur des Finances, de 1888 à 1898 et donne des cours à l'Ecole libre des sciences politiques. Elu en 1898 député de la Sarthe (mandat qu'il conservera jusqu'en 1919), figure du parti radical, qu'il préside en 1912, il évolue par la suite vers le centre.
Il a exercé diverses responsabilités ministérielles :
• du 22 juin 1898 à 1902: ministre des Finances (gouvernement Pierre Waldeck-Rousseau) ;
• du 25 octobre 1906 au 20 juillet 1909 : ministre des Finances (gouvernement Georges Clemenceau (1)), poste dans lequel il s'est illustré, en 1907, par le projet d'établissement d'un impôt sur le revenu, lequel servit de base à la réforme de la fiscalité directe mise en place de 1914 à 1917. Durant cette période, il tenta de faire adopter son projet d'impôt progressif sur le revenu, consistant à remplacer les quatre impôts créés pendant la période révolutionnaire par un impôt unique, mais il se heurta à l'hostilité du Sénat, qui rejeta son texte en 1907. Ses idées servirent cependant de base à la réforme des contributions directes qui fut réalisée entre 1914 et 1917.
Il a exercé les fonctions de président du Conseil :
• du 27 juin 1911 au 11 janvier 1912 : voir gouvernement Joseph Caillaux
succédant à Ernest Monis (gouvernement Monis), et étant à son tour remplacé par Raymond Poincaré (1er gouvernement) ;
• du 27 juin 1911 au 11 janvier 1912 : ministre de l'Intérieur (fonction cumulée avec la présidence du Conseil)il se montra partisan d'un compromis avec l'Allemagne lors du coup d'Agadir, négociant, avec son ministre des colonies Albert Lebrun, la liberté de manœuvre de la France au Maroc contre l'abandon à l'Allemagne de quelques territoires africains. A la chute de son cabinet, en partie provoquée par l'hostilité des nationalistes, il fut élu président du Parti radical ;
• du 9 décembre 1913 au 17 mars 1914 : ministre des Finances (gouvernement Gaston Doumergue (1)). Il est contraint à la démission après le meurtre de Gaston Calmette, directeur du Figaro, commis par sa propre épouse Henriette, excédée par une violente campagne menée par le quotidien contre son mari.
Poursuivi à partir de décembre 1917 à la demande de Georges Clemenceau, pour de supposées intelligences avec l'ennemi comme pour certaines de ses relations sulfureuses, il devra attendre 1920, partageant son temps entre la prison de la Santé et l'assignation à résidence, pour comparaître devant la Haute Cour de justice. Celle-ci le condamna à trois ans de prison pour « aide involontaire » apportée à l'ennemi par ses paroles, ses relations et sa virulente opposition politique. Il sera toutefois amnistié le 1er janvier 1925, après un vote favorable de la Chambre des députés, après proposition du gouvernement Herriot et reprendra aussitôt sa carrière politique.
Il fut en effet élu sénateur de juillet 1925 à 1940, et présida jusqu'en juillet 1940 la Commission des Finances du Sénat, où il se fera craindre par un certain autoritarisme. Il retrouve également en juillet 1925 son siège de conseiller général du canton de Mamers et en septembre suivant la présidence du Conseil général de la Sarthe jusqu'en 1940.
• Du 17 avril 1925 au 25 octobre 1925 : ministre des Finances (gouvernement Paul Painlevé (2))
• Du 23 juin 1926 au 19 juillet 1926 : ministre des Finances gouvernement Aristide Briand
Il fut à nouveau nommé ministre des Finances dans le gouvernement Fernand Bouisson, mais sa présence dans le cabinet entraîna une opposition telle qu'elle entraîna le renversement du gouvernement le jour même de sa présentation devant la Chambre des députés (4 juin 1935).
Le 10 juillet 1940, il fait partie des parlementaires qui votent les pleins pouvoirs au maréchal Pétain, puis se retire dans sa propriété de Mamers, refusant de poursuivre ses activités politiques. Il passe ses dernières années à compléter et achever ses mémoires publiés en 1942-1943, non sans peine, l'occupant et Vichy retardant l'autorisation d'édition.
Gaston Calmette

Gaston Calmette, né à Montpellier (Hérault) le 30 janvier 1858 et mort assassiné à Paris le 16 mars 1914, est un journaliste français.
Directeur du quotidien Le Figaro à partir de 1903, il lance, en janvier 1914, à l'instigation de Louis Barthou et Raymond Poincaré, une virulente campagne contre Joseph Caillaux, ministre des Finances dans le gouvernement Doumergue.
Excédée par cette campagne, l'épouse du ministre, Henriette Caillaux, se rend à la rédaction du journal et tue son directeur d'un coup de révolver. Le scandale entraîne dès le lendemain la démission du ministre.
Gaston Calmette est le frère aîné du bactériologiste Albert Calmette (1863-1933).
Marcel Proust lui dédia le premier volume d'A la Recherche du temps perdu, Du côté de chez Swann.
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