Crains le pire (Linwood Barclay)

Votre fille de 17 ans part de bon matin pour son petit boulot d'été.
Elle vous promet d'être de retour pour dîner.
Mais elle ne rentrera pas.
Ni ce soir-là, ni les suivants.
Votre pire cauchemar a commencé...

Pour Tim Blake, le père de Sydney, une seule mission : la retrouver à tout prix. Un coup de fil mystérieux, des individus menaçants, des meurtres... et la vie sans histoire de Tim bascule dans un engrenage incompréhensible et totalement terrifiant. Pourtant, galvanisé par son amour paternel, il ira jusqu'au bout, au risque de tout perdre...

Crains le pire de Linwood Barclay, 541 pages, France Loisirs, 2011

Mon avis : La fille de Tim Blake disparaît quelques temps après une dispute entre le père et la fille. Il fera tout pour retrouver Sydney : entre site internet et recherche active aux alentours de l'hôtel où elle travaillait, hors de question de la laisser tomber et de perdre espoir. Jusqu'à ce qu'il reçoive un mail d'une femme prétendant savoir où se cache Sydney.

J'avais déjà lu Cette nuit-là du même auteur, j'avais beaucoup aimé mais je lui préfère largement Crains le pire. À aucun moment je n'ai entrevu la solution. Chaque chapitre nous apporte de nouvelles informations en même temps que de nouvelles surprises. Je trouvais certaines annonces un peu tirées par les cheveux, jusqu'à ce que l'auteur donne une explication qui ôte toute improbabilité à l'évènement quelques pages plus tard. Je reprocherais peut-être un dénouement un peu trop simple (je n'aurais pas été contre un peu plus d'action...). Mais en dehors de ce point tout était parfait avec des personnages parfaitement crédibles.

Note : 4 sur 5

Mmm, le résumé est horrible à souhait ! ;)

Ce policier est prenant, la recherche de Syd est accrocheur, il y a de l'action, et on ne voit rien venir.


Nous suivons un père qui cherche sa fille et qui est prêt à tout pour y parvenir ; malgré que je comprenne la démarche du père, il se met dans des situations qui parfois m'ont agacé, il a le don de se fourrer dans les ennuis, lui aussi : tel père, rel fille.


Il y a peu de révélations durant la lecture, ce ne sont qu'aux dernieres pages que tout s'explique : cela m'a demotivé, par moment ; j'ai d'ailleurs mis 3 semaines pour le finir, moi qui lit un poliicer en trois jours.


C'est, ce que je nomme, un policier tranquille, malgré quelques scènes d'actions digne d'hollywood.