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 Littérature japonaise

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Sophie
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MessageSujet: Littérature japonaise   Littérature japonaise EmptySam 20 Aoû 2005 - 23:31

UN post qui devrait plaire à Mimicracra:

Celui que j'ai lu:
Pénis d'orteil, Matsuura:
Littérature japonaise 2877306291.08.MZZZZZZZ

" Remarquable par son hypertrophie, prenant naissance à la première phalange, l'orteil avait pris très exactement un galbe de champignon. Mais c'était sans doute la déformation de l'ongle la plus terrible. Là où c'était plat auparavant, bosselait à présent vers l'extrémité du champignon une espèce d'hémisphère d'environ un centimètre de diamètre luisant comme une perle. " Ce livre déroutant est fondé sur l'idée excentrique d'une femme se découvrant, un matin, affublée d'un pénis au gros orteil droit. Si Kazumi y voit d'abord une malédiction, que son amoureux tente d'ailleurs de trancher à la racine, elle ne tarde pas à reconsidérer son existence à la lumière de cette transformation. De découvertes en mésaventures plutôt rocambolesques, elle poursuit auprès d'amants et d'amantes, qui parfois n'ont rien à lui envier, une interrogation sur la féminité et la différence qui pousse les êtres à s'unir sexuellement - avec une candeur tempérée d'une bonne dose d'ironie.

Mon avis: c'est sûr, c'est spécial et original mais pas si mal. :2:

Le clan des Otori,Lian Hearn:
Littérature japonaise 207030258X.01.MZZZZZZZ
Au XIVe siècle, dans un Japon médiéval mythique, le jeune Takeo grandit au sein d'une communauté paisible qui condamne la violence, mais elle est massacrée par les hommes d'Iida, chef du clan des Tohan. Takeo, sauvé par sire Shigeru, du Clan des Otori, se trouve plongé au cœur de luttes sanglantes entre les seigneurs de la guerre. Il doit suivre son destin. Mais qui est-il ? Paysan, seigneur ou assassin ? D'où tient-il ses dons prodigieux ? Lorsqu'il rencontre la belle Kaede, un amour fou naît entre les deux jeunes gens : devra-t-il choisir entre cet amour, sa dévotion à sire Shigeru et son désir de vengeance ? Sa quête le mènera jusqu'à la forteresse d'Inuyama, lorsqu'il marchera sur le " parquet du Rossignol ". Cette nuit-là, le rossignol chantera-t-il ?

Je ne l'ai pas lu, il y a trois tomes mais j'en ai entendu beaucoup de bien.

Kitchen, Banana Yoshimoto:
Littérature japonaise 2070394867.08._BO01,224,223,220_PIsitb-dp-arrow,TopRight,22,-21_SH30_OU08_SCMZZZZZZZ_
En dépit du pseudonyme sucré qu'elle s'est choisi, Banana Yoshimoto n'a pas une vision très gaie de l'existence. Fille d'un célèbre critique littéraire japonais et admiratrice de Truman Capote, cette femme de vingt-neuf ans ne fait pas mystère du regard sévère qu'elle porte sur les contraintes qui brident la vie sociale de son pays. C'est pourtant là-bas qu'est née la renommée conquise grâce à son premier roman intitulé Kitchen, un incroyable raz-de-marée pour une jeune personne alors âgée d'à peine vingt-trois ans. Avec 2,5 millions d'exemplaires vendus au Japon, puis de gros succès aux Etats-Unis et en Italie, le livre a défrayé la chronique.
Si Kitchen, que vient d'éditer Gallimard (1), a d'abord fait couler beaucoup d'encre au Japon, c'est peut-être à cause du léger décalage qui fait dire à son auteur : " J'écris des choses très spéciales par rapport aux attitudes et aux mentalités des Japonais en général. " Cela donne l'histoire de Mikage, une adolescente arrachée à l'enfance par la mort de sa grand-mère et recueillie par un garçon qu'elle connaît à peine. L'héroïne cohabite avec celui-ci et sa " mère " nommée Eriko, un étincelant travesti qu'elle admire et qui finit par se faire assassiner. Fort heureusement, Mikage s'est découvert une passion dévorante pour les cuisines, puis pour la cuisine, ce qui la sauve et vaut au lecteur quelques très savoureuses descriptions alimentaires, depuis la composition des mets jusqu'à la façon de les savourer.
Kitsch et lyrisme
La sensualité de ces passages tranche avec la froideur, presque la platitude qui font l'ordinaire de certains chapitres. Cette alternance produit une impression où se mêlent l'étonnement et l'irritation. Il y a de l'agacement, bien sûr, à voir se dérouler certains dialogues particulièrement ineptes, même si l'on connaît la philosophie de l'auteur qui déclare : " Mon but est d'exprimer de la non-fiction. " On ne peut nier, cependant, que l'ouvrage marque par sa singularité, par une écriture autonome où la naïveté pourrait bien n'être qu'un faux-semblant.
L'ensemble dégage finalement une sorte de douceur à la limite de la nonchalance, un curieux mélange de kitsch et de lyrisme, le tout sur un mode assourdi. Cette atmosphère correspond assez à ce que Banana Yoshimoto dit aimer le plus dans la société japonaise : " Un sentiment de tendresse chez des gens capables d'éprouver une certaine proximité tout en conservant leurs distances. " Peut-être est-ce justement cette forme de distance qui rend le livre si déroutant, cette façon d'aligner, sans aucune hiérarchie apparente, des sensations et des rêves, des idées sans suite, des réflexions profondes et des constats sans intérêt.

IL m'attend dans ma bibliothèque.


Chronique d'une saison des pluies, Kafu:
Au Japon, au début du siècle, une description du monde des geishas et des maisons de rendez-vous. L'héroïne est une simple serveuse, inconstante et ensorceleuse

Pas lu mais bonnes critiques.

Au sud de la frontière, à l'ouest du soleil, Haruki Marukami:
Littérature japonaise 226403629X.08.MZZZZZZZ
Dans la foulée d'une publication de nouvelles inédites chez 10/18 intitulées Après le tremblement de terre paraît le nouveau roman d'Haruki Murakami, Au sud de la frontière, à l'ouest du soleil.
L'auteur japonais nous avait habitués aux personnages de classe moyenne qui, perdus et broyés au milieu de la foule, se résignaient à vivre anonymement et à faire éclater le plus discrètement possible leur désespoir. Cette fois, le héros du roman s'en tire un peu mieux que les autres. Hajime a une situation confortable. Marié à la fille d'un industriel, il a pu ouvrir un club de jazz. Sa femme l'aime, il l'aime aussi. Autant que ses deux filles. Il a quarante ans mais en paraît trente parce qu'il va régulièrement à la piscine. Il conduit une BMW la semaine, une Cherokee le week-end. Que dire de plus ? Que la belle Shimamoto-san, son amour de prime jeunesse, va faire son apparition et rendre tout d'un coup cette petite vie bourgeoisement confinée inutile et insupportable.
Ce roman de Haruki Murakami se lit d'une traite. Chose curieuse, cette lecture s'effectue comme une procession lente et mesurée, sans avidité, ni boulimie romanesque. La phrase, sèche et tendue, a la curieuse faculté de mettre les personnages à distance d'eux-mêmes. Mystérieusement, ils parlent presque d'outre-tombe, dévoilant sur eux-mêmes une vérité qu'ils semblent fatigués de vouloir endosser. Haruki Murakami est assurément un auteur à découvrir et à suivre.

Paraît-il que c'est génial, moi je ne l'ai pas trouvé dans les librairies.

Ma vie de geisha,Mineko Iwasaka:
Littérature japonaise 225311216X.08.MZZZZZZZ
On a dit de moi que j'étais la plus grande geisha de ma génération. Certes, j'ai recueilli les plus beaux succès. Mon destin a été jalonné d'extraordinaires défis et de merveilleuses gratifications. Et pourtant les astreintes de ce qui est plus qu'une profession - un véritable sacerdoce - m'ont finalement poussée à l'abandonner... Il est temps de lever les voiles du mystère qui plane autour de la vie des geishas. Je veux briser un silence vieux de trois cents ans. Je vous invite à me suivre dans le monde des fleurs et des saules, le monde de Gion-Kobu. " Voici le témoignage exceptionnel de celle qui fut, à maints égards, la dernière incarnation d'un art de vivre séculaire. Jugée digne de devenir l'héritière de la " maison de geishas " la plus prisée de Kyoto, Mineko Iwasaki décide de quitter ses parents pour les sauver de la misère. On lui apprend la danse, la musique, la calligraphie, la discipline. Mais elle découvre peu à peu, derrière les kimonos de soie et les réceptions prestigieuses - où magnats de l'industrie, monstres sacrés du cinéma et têtes couronnées se disputent sa compagnie -, que la condition des geishas, peu instruites et soumises au bon vouloir de leurs clients, n'évolue pas dans le japon post-féodal...

Celui-là aussi m'attend.


A vous maintenant, si vous avez des propositions.
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MessageSujet: Re: Littérature japonaise   Littérature japonaise EmptyDim 21 Aoû 2005 - 10:09

/merci/ Sophie, je dois avouer que ça me tente depuis quelques temps déja de lire des livres de ce genre mais j'hésitais car j'avais peur de trouver ça spécial mais je pense que je vais m'y mettre dès que la biblio aura réouverte!!!

Le clan des otori doit y être mais il faut mentionner que c'est une trilogie pour ados, donc je pense, plus facile à lire

bibi
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MessageSujet: Re: Littérature japonaise   Littérature japonaise EmptyDim 21 Aoû 2005 - 12:55

/merci/ Sophie

Je suis comme Gwen ! a essayer donc ;;livre
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MessageSujet: Re: Littérature japonaise   Littérature japonaise EmptyMar 23 Aoû 2005 - 17:19

LE CLAN DES OTORI

Absolument Génial!! un vrai régal, beau, bien écrit, léger et lourd à la fois... on traverse plein de moments intenses et aussi les personnages sont très attachants..... beaucop de dignités dans ce roman !

J'ai adoré...
J'attends que le 3e tome sorte en poche avec beaucoup d'impatience!!!

Natou ordi;;
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MessageSujet: Re: Littérature japonaise   Littérature japonaise EmptyMar 23 Aoû 2005 - 17:20

j'hésitai à le lire, je pense que tu m'as convaincu, dès que al biblio réouvre je vais l'emprunter!!

/merci/ natou
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MessageSujet: Re: Littérature japonaise   Littérature japonaise EmptyMar 23 Aoû 2005 - 17:22

gwenahelle a écrit:
j'hésitai à le lire, je pense que tu m'as convaincu, dès que al biblio réouvre je vais l'emprunter!!

/merci/ natou

Je t'en prie... tu m'en diras des nouvelles, d'accord?

Bizz

:pomme: Natou
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MessageSujet: Re: Littérature japonaise   Littérature japonaise EmptyMar 23 Aoû 2005 - 18:29

bien sur que je te dirai ce que j'en pense clindoeil

:bisous2222:
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MessageSujet: Re: Littérature japonaise   Littérature japonaise EmptyMar 23 Aoû 2005 - 21:22

/merci/ Natou /bisous/
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MessageSujet: Re: Littérature japonaise   Littérature japonaise EmptyJeu 25 Aoû 2005 - 12:27

Sophie a écrit:
UN post qui devrait plaire à Mimicracra:

Celui que j'ai lu:
Pénis d'orteil, Matsuura:
Littérature japonaise 2877306291.08.MZZZZZZZ

Mon avis: c'est sûr, c'est spécial et original mais pas si mal. :2:

Le clan des Otori,Lian Hearn:
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Je ne l'ai pas lu, il y a trois tomes mais j'en ai entendu beaucoup de bien.

Kitchen, Banana Yoshimoto:
Littérature japonaise 2070394867.08._BO01,224,223,220_PIsitb-dp-arrow,TopRight,22,-21_SH30_OU08_SCMZZZZZZZ_

IL m'attend dans ma bibliothèque.


Chronique d'une saison des pluies, Kafu:

Pas lu mais bonnes critiques.

Au sud de la frontière, à l'ouest du soleil, Haruki Marukami:
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Paraît-il que c'est génial, moi je ne l'ai pas trouvé dans les librairies.

Ma vie de geisha,Mineko Iwasaka:
Littérature japonaise 225311216X.08.MZZZZZZZ

A vous maintenant, si vous avez des propositions.

Coucou dans ta liste je n'ai lu que les 2ers tome du Clan des Otori... j'attends le 3ème en poche...

Et voici 2 livres de plus d'Haruki MURAKAMI, en poche:
- La Course au mouton sauvage.
- La fin des temps.

Et un de Natsume SOSEKI:
- Je suis un chat.
"Satire désopilante d'une société en transition. Si vous voulez comprendre la Japon, identifiez vous au chat de Sôseki"

Voilà, mais j'en ai encore d'autres en réserve si jamais...

Bizzz, bizzz
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MessageSujet: Re: Littérature japonaise   Littérature japonaise EmptyJeu 25 Aoû 2005 - 12:52

avec tout ce que vous conseillez il va falloir que je me mette à la littérature japonaise moi

/merci/
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MessageSujet: Re: Littérature japonaise   Littérature japonaise EmptyJeu 25 Aoû 2005 - 13:11

mimicracra a écrit:
[Et un de Natsume SOSEKI:
- Je suis un chat.
"Satire désopilante d'une société en transition. Si vous voulez comprendre la Japon, identifiez vous au chat de Sôseki"

Voilà, mais j'en ai encore d'autres en réserve si jamais...

Bizzz, bizzz

Hello!!

"Je suis un chat" de Natsume Sôseki, est un livre qui se lit très lentement, enfin, c'est l'impression que l'on a quand on est plongé dedans.. une impression de ralenti.... c'est sympa... il y a aussi, du même auteur "Bot'chan".... cet auteur fait partie des grands classiques de la littérature japonais... c'est un incontournable!!

J'aimerais vous présenter "Un admirable idiot" de Shusaku Endo.... je vais essayer de vous trouver un résumer...

bizz et à plus!!

Natou ordi;;
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MessageSujet: Re: Littérature japonaise   Littérature japonaise EmptyJeu 25 Aoû 2005 - 23:00

Natou a écrit:
mimicracra a écrit:
[Et un de Natsume SOSEKI:
- Je suis un chat.
"Satire désopilante d'une société en transition. Si vous voulez comprendre la Japon, identifiez vous au chat de Sôseki"

Voilà, mais j'en ai encore d'autres en réserve si jamais...

Bizzz, bizzz

Hello!!

"Je suis un chat" de Natsume Sôseki, est un livre qui se lit très lentement, enfin, c'est l'impression que l'on a quand on est plongé dedans.. une impression de ralenti.... c'est sympa... il y a aussi, du même auteur "Bot'chan".... cet auteur fait partie des grands classiques de la littérature japonais... c'est un incontournable!!

J'aimerais vous présenter "Un admirable idiot" de Shusaku Endo.... je vais essayer de vous trouver un résumer...

bizz et à plus!!

Natou ordi;;

"Je suis un chat", je l'ai commencé mais abandonné justement à cause du rythme trop lent et de mon manque de connaissances de la culture japonaise.

Un autre que j'ai lu:
Les belles endormies, Yasunari Kawabata, prix Nobel de littérature.
Littérature japonaise 2253029890.08.MZZZZZZZ
Dans cette chambre aux rideaux cramoisis, des jeunes femmes livrent leur corps à la contemplation. Auprès des ces "Belles Endormies", intouchées et intouchables, des hommes déjà vieux viennent trouver une illusoire consolation à leur jeunesse enfuie. C'est avant tout la curiosité qui pousse Eguchi à franchir le seuil de cette maison singulière, mais il ne percera aucun de ses mystères. Lui qui pourtant ne ressemble pas aux "clients de tout repos" qui fréquentent la maison, il se pliera comme eux à ses règles étranges. Peu à peu, le vieil Eguchi se prend au jeu et chaque fois c'est aux côtés des ces corps de nymphes qu'il refait le voyage de sa vie. Sans tristesse ni nostalgie, il reverra en rêve les passantes d'une nuit, ses maîtresses, ses filles, sa mère, les femmes de sa vie.
Dans ce huis clos touchant, l'auteur évoque la lucidité d'un homme face à sa solitude et distille au fil des pages un érotisme tout en pudeur et en tendresse. L'une des plus belles oeuvres de Yasunari Kawabata, Prix Nobel de littérature. --Lenaïc Gravis et Jocelyn Blériot

J'ai aimé, ça se lit bien et ça n'a rien de dégoûtant!
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MessageSujet: Re: Littérature japonaise   Littérature japonaise EmptyVen 26 Aoû 2005 - 16:53

KAWABATA....mmmmm.... voilà un auteur que je n'ai jamais pu lire.... soporifique ou incompréhension ? Ou bien tout simplement, pas encore assez mature.... colère squoi


Bizz à vous!!


Natou ordi;;


Dernière édition par le Mar 30 Aoû 2005 - 10:26, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Littérature japonaise   Littérature japonaise EmptyMar 30 Aoû 2005 - 10:12

Je note tout cela et je vais regarder si j'ai des livres japonais, des chinois j'en suis certaine, mais japonais...
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MessageSujet: Re: Littérature japonaise   Littérature japonaise EmptyMer 31 Aoû 2005 - 13:02

Un admirable idiot de Endo shusaku

Commentaires de Alapage:



Endo présente les aventures de Gaston, un jeune Français, dans le Japon contemporain, à la manière d'une fable, mais cette parabole se distingue par son réalisme et la critique sociale qui la sous-tend. Avec cet ouvrage, Endo poursuit son étude critique du «marécage japonais» ainsi qu'il désigne l'univers intérieur des Japonais où l'apathie côtoie l'indifférence aux valeurs morales.



La fille que j'ai abandonnée (du même auteur)==> je l'ai trouvé à la Fnac ce WE, donc je ne l'ai pas encore lu mais je pense qu'il doit être bien....

Critique de :Le Monde



Le 30 Décembre 1994


Dans ce désert peuplé...
Lorsqu'on pressentit que le prix Nobel serait attribué à un écrivain japonais, certains journaux anglo-saxons préparèrent des panégyriques de Shûsaku Endô. Beaucoup plus largement traduit que Kenzaburô Oe en langue anglaise, en tout cas plus régulièrement et depuis plus longtemps, cet écrivain catholique est parfois présenté comme le Graham Green ne nippon. C'est un rapprochement un peu léger et trompeur.
Evidemment singulier chez un Japonais, le christianisme est traité, dans le présent roman, écrit il y a déjà trente ans, sous une forme métaphorique. Une postface plus récente explicite le parallèle entre l'héroïne sacrifiée et le Christ, « abandonné lui aussi par ses disciples d'abord, et par nous tous ensuite, dans notre vie quotidienne ». A vrai dire, cette analogie ne s'impose guère à la lecture. On pense plutôt aux romans français de l'entre-deux-guerres, ces romans réalistes, poétiques, brefs, secs et durs qui fascinaient tant Katherine Mansfield et Jean Rhys (autour de la personnalité de Francis Carco dont la première fut une intime et que la seconde traduisit en anglais). Et, pourquoi pas ?, à François Mauriac ou au jeune Julien Green.
Il s'agit ici de l'histoire d'un étudiant sans scrupules qui, par frustration sexuelle, couche avec un laideron, toute jeune ouvrière, qu'il contacte en répondant à une petite annonce (dans la rubrique des admirateurs de cinéma). Pour lui, c'est un souvenir plutôt répugnant qu'il s'efforce d'oublier rapidement. Pour elle, rêveuse, sotte, démunie, victime désignée de séducteurs à la petite semaine, c'est absolu, définitif, unique. Il sait, alors qu'elle est encore dans ses bras, qu'il la fuira. Elle le poursuit, sans le harceler. Elle se résigne, mais ne l'oublie pas. L'étudiant devient un employé médiocre et arriviste qui, avec la même froideur, séduit la nièce de son patron. Mais le hasard le remet plusieurs fois sur le chemin de son amoureuse. Elle avait une tache sur le bras. On la croit lépreuse. Elle découvre l'horreur de l'exclusion des malades. Soudain, elle révèle une grandeur qui lui permet de transfigurer la fatalité.
Le livre, qui frôle constamment le mélodrame, prend brusquement une dimension inattendue. Certes, on a eu de nombreux indices de la rigueur du romancier, de l'acuité de sa sensibilité, de l'économie et de la sûreté de ses moyens. Mais là, c'est autre chose qui se produit. Le contraste des deux personnages, sans être caricatural, est assez violent pour susciter chez le lecteur une très vive émotion. La veulerie de l'un qui s'exprime cyniquement dans son journal intime , la noblesse de l'autre, pourtant attachée à une désolante ingénuité, apparaissent comme les pôles de l'univers de ce romancier moraliste qui, on le craint, risque parfois de virer à la littérature édifiante.

RENE DE CECCATTY



ordi;;
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MessageSujet: Re: Littérature japonaise   Littérature japonaise EmptyVen 2 Sep 2005 - 14:31

Ma belle-soeur (qui va bientôt partir faire un stage de je ne sait plus quel art martial) m'a prété deux bouquins qu'elle a bien aimé...je ne les ais pas encore lus:

Après le tremblement de terre - Haruki Murakami (ed° 10/18)

"Japon, 1995. Un terrible tremblement de terre survient à Kobe.
Cette catastrophe, comme un écho des séismes intérieurs de chacun, est le lien qui unit les personnages de tous âges, de toutes condition, toujours attachants, décrits ici par Haruki Murakani.
Qu'advient-il d'eux, après le chaos? Séparations, retrouvailles, découverte de soi, prise de conscience de la nécessité de vivre dans l'instant. Les réactions sont diverses, imprévisibles, parfois burlesques...
Reste que l'art de Murakani est de montrer, avec modernité et délicatesse, la part d'ombre existant derrière les choses et les êtres, invitant le lecteur à y déceler le reflet de ce qu'il porte en lui-même.
Reconnu comme l'un des plus grands auteurs japonais contemporains, Haruki Murakani est traduit dans de nombreux pays. Aujourd'hui, la critique, unanime, s'accorde à voir en lui un futur lauréat du prix Nobel de littérature."


Rashômon et autres contes - Ryûnosuke Akutagawa (ed° Folio 2 euros)

"Un miséreux qui hésite entre le vol et la miort s'abrite de la pluie sous la porte Rashô, une ruine transformée en charnier. Dans la pénombre du crépuscule, il découvre une vieille hirsute et fantomatique en train d'arrcher les cheveux des cadavres....

Violents, étincelants, souvent terrifiants, ces brefs récits plongent le lecteur dans les ténèbres d'un Japon de légende, peuplé de sorcières, de brigants et de personnages aussi surprenants qu'inquiétants"
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MessageSujet: Re: Littérature japonaise   Littérature japonaise EmptyVen 2 Sep 2005 - 16:04

Coucou!!

Rashômon et autres contes - Ryûnosuke Akutagawa

celui-là, je l'ai lu il y a fort longtemps et je me souviens avoir aimé...

Bisous

Natou /porte/


Dernière édition par le Ven 2 Sep 2005 - 19:33, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Littérature japonaise   Littérature japonaise EmptyVen 2 Sep 2005 - 17:04

effectivement le résumé donne envie
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MessageSujet: Re: Littérature japonaise   Littérature japonaise EmptyLun 26 Sep 2005 - 10:40

bellemarianne a écrit:
[color=violet]
[size=18]Rashômon et autres contes - Ryûnosuke Akutagawa
(ed° Folio 2 euros)

"Un miséreux qui hésite entre le vol et la miort s'abrite de la pluie sous la porte Rashô, une ruine transformée en charnier. Dans la pénombre du crépuscule, il découvre une vieille hirsute et fantomatique en train d'arrcher les cheveux des cadavres....

Violents, étincelants, souvent terrifiants, ces brefs récits plongent le lecteur dans les ténèbres d'un Japon de légende, peuplé de sorcières, de brigants et de personnages aussi surprenants qu'inquiétants"

Ben celui-là, je viens de le commencer...
Le résumé me plaisait bien...

Alors je file sur le canapé bouquiner...
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MessageSujet: Re: Littérature japonaise   Littérature japonaise EmptyVen 14 Oct 2005 - 14:45

Littérature japonaise 2290300543.08.LZZZZZZZ Littérature japonaise 2290307831.08.LZZZZZZZ

Mon analyse :

Pour ceux qui aiment le style de la littérature Japonaise, peut-être connaissez-vous Eiji Yoshikawa ? Cet auteur de la littérature japonaise a été au Livre ce qu’est Akira Kurosawa (les sept samouraïs) au Cinéma « Un Géant » et ce n’est pas la taille de ses deux pavées (1400pages et cent vingt millions d’exemplaires publiés au Japon) qui infirmeront ce constat.

" LA PIERRE ET LE SABRE " & " LA PARFAITE LUMIÈRE "

J'ai adoré (c'est à dire que j'ai lu l'histoire plusieurs fois, à recommander pour une personne qui n'a rien à lire le Vendredi et veux occuper son week-end.)

Il faut savoir que Myiamoto Musashi a bel et bien existé au 17em siècle sous le Shogunat de Tokugawa Ieyasu, et qu’il incarne pour tous les japonais le héro national.

Eiji Yoshikawa se permet pourtant d’enjoliver la réalité du personnage ; Myiamoto Musashi apparaît pratiquement parfait, une romance toute en nuance pudique vient se greffer sur l’histoire pour en faire un héro bien propret. En fait le personnage était tout autre, cradingue comme un poux car il craignait l’eau surtout pour se laver, batailleur et osant frapper par derrière quand son intérêt immédiat l’exigeait, violeur et sans aucune manière avec les femmes, poivrot de l’aube au crépuscule (Tout du parfait gentleman, comme diraient nos amis So British, et un peu comme notre François Villon national, poète, gueux, voleur et assassin à ses moments perdus).

Alors pourquoi est-il devenu héro d’Empire du Levant ?

Parce que malgré tout, il fut l’un des plus grands escrimeurs de l’histoire du Japon, et qu’il écrivit à la fin de ses jours le livre « Gorin-No-Sho » (Cinq Roues ou Cinq anneaux). Manuel et réflexions sur l’art du code Bushido et la voie du Sabre. A la fin des années 1930, ce livre était dans tous les paquetages des soldats nippons pour les exhorter à la bravoure et au dépassement de soi.

Il y a deux passages qui révèlent beaucoup de choses sur la philosophie du code Bushido des samouraïs, même si ils sont banals en première lecture.

Un jeune élève d'une école de sabre désire obtenir une leçon d'escrime d'un maître confirmé ; en retour il reçois une Pivoine Blanche fraîchement coupée pour toute réponse (à lui de définir, le message). Furieux, il demande si c'est tout ce qu'a dis le maître ? On lui répond « oui », il part convaincu que le maître n'a qu'une réputation surfaite, tandis que Musashi en quête de la parfaite lumière, ramasse la pivoine, et parvint à déchiffrer le message, et ce, rien qu'en observant la coupe de la tige ; il en tire la seule conclusion : qu'il lui reste encore à acquérir plus d'expérience et de sagesse avant de revenir demander une audience au vieux maître.

Le deuxième passage mets en scène cinq rônins prétentieux qui veulent provoquer Musashi alors qu’il achève son repas. Sans se départir de son calme, juste gêné par le vol de cinq mouches, il gesticule une chorégraphie de sa main droite qui tient toujours ses baguettes et dépose devant chaque rônin une mouche morte avant de quitter l’auberge. (C’est déjà coton de manger avec des baguettes, si en plus il faut attraper les mouches avec, cela risque vraiment de devenir galère).

J'aime bien aussi l'allégorie sur les artisans qui se chargent de redonner du tranchant au Katana, " Des polisseurs d'âmes "


Présentation de l’éditeur :

La pierre et le sabre.

Personnage historique devenu héros légendaire, Myiamoto Musashi a inspiré à Eiji Yoshikawa ce fabuleux roman qui est l'Autant en emporte le vent du Japon. (Les deux ont été publiés à la même époque 1937)

Qui était Musashi ? A vingt ans, un jeune homme insupportable, véritable petit coq de combat, qui ne rêvait que d'en découdre et pour qui le maniement du sabre était un but en soi. Puis il croisa un maître, un moine, et sa vie en fut transformée. Non qu'il cessât de parfaire sa science des armes, de parcourir les routes, poursuivi par tous ceux que son audace, sa diabolique habileté, son incroyable sang-froid rendaient fous de rage. Mais cette vaillance, il avait compris qu'elle n'était qu'un moyen de parvenir à la sagesse, de dominer les forces du mal. Avec pour alliée et amante, toujours présente et discrète, la douce Otsù qui l'exalte, le réconforte … et l'empêche de tomber dans les pièges que d'autres femmes ne cessent de lui tendre.

Histoire de cape et d'épée, d'amour et d'aventures, La Pierre et le Sabre est un authentique témoignage sur la vie des japonais au XVIIe siècle : les samouraïs bien sûr, cette aristocratie militaire, et surtout le petit peuple (Marchands, artisans, paysans, moines guerriers) truculent, mais aussi étonnamment instruit, sensible à l'art et à la poésie.


La parfaite lumière.

Dans La Pierre et le Sabre nous avons vu Musashi, arrogant bretteur de village, devenir un des grands maîtres du sabre et s'engager sur la voie de la sagesse, en compagnie du moine Takuan et de la douce Otsu.

Dans La Parfaite Lumière nous retrouvons la trame complexe et limpide de cette gigantesque tapisserie, et suivons chacun des fils de l'intrigue. Ainsi apprendrons-nous comment se résolvent les longues amours contrariées d'Otsu et Musashi, ce qu'il advient de la haine passionnée de la vieille Osugi pour notre héros, et quelle sera l'issue de la rivalité entre Musashi et Kojiro, son plus redoutable adversaire. Au sortir de ce combat de titans, le vainqueur abordera enfin de LA PARFAITE LUMIERE.

Prodigieuse épopée ! Le grand art du conteur populaire que fut YOSHIKAWA s'applique ici à un personnage hors du commun. Un grand roman autour d'un héro inoubliable.
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MessageSujet: Re: Littérature japonaise   Littérature japonaise EmptyMer 19 Mar 2008 - 21:12

Moi aussi, j'ai lu le roman de Yasunari Kawabata, prix Nobel 1968, Les belles endormies. C'est un très bon roman, bien que traitant ennormement de sexe. C'est le principal defaut du livre; Et le sujet peut choquer. C'est pour ça que je n'ai pas compris pourquoi c'était un classique au Japon. des adolescents lire ça? J'ajoute que je suis adolescent. Mais moi, j'ai lu ce livre parce que j'étais curieux. Mais un classique? Je pense que notre bon vieux Victor Hugo vaut cet écrivain. Mais il y a des points forts dans ce roman. Déjà, le vieillard qu'on suit dans ce livre ne fera pas l'amour à ces femmes. Ce qui signifie qu'on pourait très bien avoir une critique de la perversité. Le vieux Eiguchi va se rapeller des souenirs avec des femmes grace à ces belles endormies. il va aussi les plaindre, penser à les reveiller, ce qu'il ne fera pas. Il y aura aussi une morte. Toute une critique de la prostitution d'après ce que j'ai compris. J'ai aussi compris la personnalité de l'écrivain grace à ce livre. Yasunari Kawabata a perdu ses parents, sa soeur dans sa jeunesse, sa grand mère aussi. Il a été confié ensuite à son grand père avec qui il s'est lié d'amitié; mais le vieillard est malade, et il mourera. Il sera alors confié à un oncle (ou une tante, je ne sais plut). C'est grace à la littérature qu'il pourra trouvé le fouilli fachtras de joie qu'il n'aura jamais. Et il écrira, il écrira, rencontrant la gloire. mais la gloire sans personne pour nous dorloter, ça ne sert à rien. Kawabata a besoin d'affection, il a besoin d'être aimé, c'est un vieillard qui plaind l'amour mais le désire en même temps; non, il ne désire pas de la chère fraiche, mais il désire avoir une seconde jeunesse pour trouver l'amour qu'il n'aura jamais. Kawabata est né en 1899, et est mort en 1972, ce roman sera écrit en vers 1960, ou l'écrivain avait à peu près 60 ans, donc il n'était pas né de la dernière pluie. c'est surement un écrivain triste qu'on a là, mes amis. c'est aussi une des raisons pour laquelle j'ai lu ce livre. J'ai eu de la peine pour ce personnage qui n'a pas eu la vie qu'il désirais (je vais pleurer, en plus j'ai du Mendelssohn sur les oreilles).
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